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 Sa Grâce Morrigan Gor Deyrn, Duchesse de Curran

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Morrigan Gor Deyrn
Duchesse
Morrigan Gor Deyrn


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MessageSujet: Sa Grâce Morrigan Gor Deyrn, Duchesse de Curran   Sa Grâce Morrigan Gor Deyrn, Duchesse de Curran EmptyLun 20 Fév - 23:16

Nom : Gor Deyrn

Prénom : Morrigan

Surnom : Curran (du nom de son duché), Lutin (surnom donné par Louve)

Âge : 21 ans

Sexe : Féminin

Race : Humain

Métier : Duchesse de Curran

Lieu de naissance : Ouest, dans le Château des Engloutis

Histoire : Comme beaucoup de nobles de l’empire de l’Ouest, Morrigan
naquit dans l’enceinte même du Château des Engloutis, pendant que son père, le
Duc de Curran faisait les cents pas dans le couloir qu’éclairaient les lampes
et bougies que l’on pouvait trouver dans le château. Elles étaient de toutes
tailles, de toutes formes… Les lampes de verre et de métal forgé dessinaient
des auréoles colorées sur les murs de pierre humide.


Les cris de la duchesse, une native du Nord, résonnaient sur
les pierres, se mêlant au mugissement du vent salé qui pénétrait par les tours.
Premier enfant du couple, Morrigan était attendue avec d’autant plus
d’inquiétudes que la première femme du duc était morte en couches trois ans
plus tôt, lors de la naissance d’un fils mort-né. A présent, l’odeur du sang
flottait de nouveau. La jeune duchesse était forte et son caractère était suffisamment
entier pour que tout le monde puisse espérer qu’elle survive. Et de fait, la
petite finit par pousser son premier cri, sa mère ne gardant pour séquelle
qu’une respiration légèrement haletante, symptôme qui se calma après quelques
secondes seulement.


A sa naissance déjà, Morrigan était une adorable petite
créature. Une véritable poupée de porcelaine qui faisait craquer tous ceux qui
posaient les yeux sur elle. En grandissant, elle devint une enfant joueuse,
curieuse et trop peu méfiante pour son bien. Son caractère volontaire, hérité
de sa mère, et son imagination débordante la menèrent dans de folles aventures.
Elle parcourut tout le Château à la recherche de trésors cachés. Elle s’enfonça
dans les grottes oubliées qui creusaient le sol sous-marin sous l’édifice,
cherchant des dragons à dompter.


La première fois que la petite fille avait quitté le
château, elle avait cinq ans. Tout avait commencé par une partie de cache-cache
avec d’autres enfants. Allant contre les consignes parentales, qui
interdisaient aux enfants de s’éloigner des niveaux sous-marins, Morrigan avait
grimpé les innombrables degrés de la Tour Curran, la tour attitrée de la
famille ducale. L’air marin fouettait son visage, chargé d’embruns et de
gouttes de pluie. On connaissait depuis qu’elle était tout bébé l’affinité de
Morrigan avec l’élément aquatique et elle n’était jamais plus heureuse
qu’entourée d’eau. Tandis que venait, assourdi par la distance et le bruit du
vent, la fin du décompte, Morrigan se précipita dans un des bateaux de
ravitaillement amarrés à la tour et se roula en boule sous une bâche. Le temps
passa et la petite fille s’endormit.


Le bruit du petit bateau frappant contre le ponton finit par
tirer Morrigan de son sommeil. Elle sortit de sous la bâche et découvrit pour
la première fois le monde hors du Château. Le petit port était tellement
fréquenté que personne ne remarqua la petite fille qui slalomait entre les
gens, observant ce qui l’entourait avec de grands yeux. Pendant longtemps elle
marcha, jusqu’à ce que la ville ne soit plus qu’un point scintillant au loin
derrière elle. Devant elle s’étendait le marais, scintillant sous la lumière de
la lune, les fleurs sauvages s’agitant doucement dans la brise nocturne.


Jamais encore elle n’avait vu autant d’eau douce en plein
air. Au château, il y avait les sources chaudes, juste au dessus des grottes
inexplorées. C’était là qu’elle prenait son bain tous les soirs et que ses amis
et elle se jetaient dans l’eau malgré les volutes de vapeur, pour barboter en
riant. Ici, l’eau était froide et douce, plus légère que l’eau de la source
chaude et plus transparente que l’eau salée de la mer.


Une silhouette blanche apparut à la limite de son champ de
vision. Elle était sublime, telle une créature de conte de fée. Il y avait
quelque chose de sauvage dans ses yeux et la fourrure pâle sur son épaule
semblait luire doucement dans l’obscurité de la nuit. Avec son naturel
déroutant, Morrigan lui sourit, tendant sa petite main vers la fourrure. Elle
était trop grande et la petite fille se rabattit sur sa main qui semblait si
douce et solide à la fois.


- Louve…


Elle semblait une incarnation mythique de l’animal et
Morrigan était fascinée. Louve était très différente de sa propre mère mais,
instinctivement, elle lui inspira confiance. C’est elle qui la raccompagna au
Château. Louve devint une partie intégrante de sa vie, elle la surveillait de
loin ou allait la récupérer lors de ses expéditions insensées. Si la Duchesse
et le Duc ne voyaient pas nécessairement d’un bon œil la présence de cette
étrangère dans la vie de leur fille, force leur était d’admettre que la
vigilance discrète qu’elle portait sur Morrigan les rassérénait.


Il faut dire que le deuxième don de la jeune femme n’était
pas pour les rassurer. C’est lors de son adolescence, alors que l’enfant
devenait une jeune femme envoûtante, que son magnétisme qu’on pouvait qualifier
de surnaturel fut mis en évidence. Enfant déjà, elle attirait l’affection et
l’amitié de tous, un fait que l’on attribuait à sa personnalité chaleureuse, à
son caractère enjoué et à sa douceur. A présent elle s’auréolait d’une aura de
sensualité qui agissait comme un filtre sur ceux qui l’entourait.


Divers incidents se succédèrent avant qu’on en comprenne la
cause. Des adolescents se battirent pour son attention parce qu’elle leur avait
souri, un ami de ses parents qu’elle connaissait depuis toujours tenta de
l’embrasser dans un couloir après avoir effleuré sa main… Sans compter de menues
anicroches dans les bains… Il fallut avoir recours à l’aide d’un Liseur d’aura
pour décrypter ces mystérieux changements comportementaux. Dire que les parents
de Morrigan furent soulagés que Louve décide de prendre en main la formation au
combat de leur fille serait un euphémisme.


Le souci ? Morrigan n’aimait pas se battre. D’un
naturel contemplatif, elle préférait l’art, la lecture, ou simplement passer du
temps avec ses amis (malgré les risques que cela pouvait comporter). Louve
parvint à lui apprendre à manier la dague de façon correcte. Elle lui apprit
quelques mouvements de défense. Passée cette formation de base, la jeune femme
esquivait les entraînements, se faisant pardonner par de brillants sourires,
quand elle n’incitait pas directement Louve à faire l’école buissonnière !


Morrigan adorait Louve. Mais entre les voyages de cette
dernière, sa profession de maître d’armes ou les devoirs de future duchesse de
Morrigan, elle ne voyait la mystérieuse jeune femme que de loin en loin. Chaque
fois que Louve venait la voir, il semblait que Morrigan avait changé pour
devenir plus femme. Mais Louve, elle, ne changeait pas malgré les années.


Le temps passait et ses parents partaient de plus en plus
souvent, rassurés sur sa sécurité maintenant qu’elle savait se défendre. En
tant que représentante du Royaume de l’Ouest, ils voyageaient à travers tous
les Continents. C’est sur le chemin du retour, sur le territoire du continent
du Centre qu’ils tombèrent dans une embuscade. Ce continent n’était plus en
guerre avec le leur depuis de nombreuses années déjà mais une tension régnait
toujours entre les deux états. Néanmoins le continent du Centre nia toutes
implications dans l’embuscade. Plusieurs journées s’écoulèrent avant que l’information
n’atteigne le château. C’est le roi qui apprit la nouvelle à Morrigan. Il la
convoqua en privé –veillant à maintenir ses distances avec la jeune femme pour
éviter la tentation. Dès qu’elle pénétra dans l’antichambre, Morrigan comprit
que quelque chose n’allait pas.


Le roi se contenta de lui tendre une dague. C’était plus
explicite que n’importe quel long discours. Il s’agissait d’Amanna. Une dague
ouvragée qui se transmettait avec le titre depuis des générations. Jamais son
père ne s’en serait séparé. Jamais le souverain ne la lui aurait confiée si son
père avait été vivant. Duchesse de Curran. C’était un titre dont elle se serait
volontiers passée pour des années encore. C’est sous ce titre que Louve la
retrouva, quelques semaines plus tard.


Peu de gens pouvaient encore lui refuser quoi que ce soit.
Et moins encore pouvait se permettre de la confiner dans la tour ducale de sa
famille. Bien décidée à découvrir les responsables de la mort de ses parents,
Morrigan entend bien utiliser ses privilèges de Duchesse pour n’en faire qu’à
sa tête.

Histoire de l'âme gardienne/ l’ancêtre protecteur: Kiann Gor Deyrn,
premier duc de Curran de la lignée Gor Deyrn était grand, blond et terriblement
masculin : tout le contraire de sa jeune héritière. De son vivant déjà, il
était précédé d’une impressionnante légende. On le disait fils d’un démon, on lui
attribuait plus de mille conquêtes féminines, et –accessoirement- on racontait
comment à lui seul il avait défendu le château des Engloutis des assauts d’un détachement
de l’empire du Centre. A l’époque, les deux continents étaient des rivaux et
leurs relations étaient souvent ponctuées d’escarmouches et de batailles.


Le roi, son cousin du côté de sa mère, lui avait lui-même
accordé le titre de Duc, en remerciement pour ses exploits. Pourtant Kiann
n’était pas un saint, loin s’en fallait. Il prenait ce qu’il voulait, ne
respectait rien, pas même les serments et les promesses. Les gens disaient que
c’était dû à son père démon. Kiann disait simplement qu’il ne voyait pas
pourquoi il se serait privé de se faire plaisir alors qu’il n’y avait qu’à
tendre la main.


Kiann ne cessa les excès que quand il apprit que sa jeune
épouse était enceinte. Il s’agissait d’un mariage arrangé, mais le jeune Duc
découvrit qu’il ressentait à l’égard de la jeune duchesse un instinct de
possession particulièrement impressionnant. Fasciné par le mystère de cette vie
qui se développait dans le ventre de la jeune femme et qu’il y avait mise,
Kiann passait de longues heures à ses côtés. Il accepta de s’éloigner du
château sur les ordres de son cousin et fut pris dans une attaque de soldat du
continent du centre alors qu’il quittait tout juste la ville portuaire pour
s’enfoncer dans les marais.


Ses ennemis étaient en surnombre et même en utilisant ses
pouvoirs, il ne parvint pas à en réchapper et rendit son dernier souffle loin
des siens, sous un ciel chargé de nuages noirs.


Kiann a déjà guidé plusieurs de ses descendants quoique sans
comprendre le phénomène qui le maintenait auprès de sa lignée. De son existence
mortelle, il a gardé une haine du continent du centre et un goût certain pour
les plaisirs de l’existence. La mort l’ayant cueilli alors qu’il envisageait
tout juste de s’assagir, Kiann en a pris offense au point de ne plus voir
l’intérêt à vivre décemment. C’est ainsi qu’il prend un malin plaisir à
intervenir dans l’esprit de ses descendants pour les entraîner sur une pente
savonneuse…

Caractère :


Enjouée et affectueuse par nature, Morrigan voit son don de
Glamour comme une malédiction : pour éviter des incidents parfois
violents, elle doit réfréner sa tendance aux démonstrations d’affection.
Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, elle témoigne malgré cela d’un
optimisme surnaturel et d’une confiance instinctive proche de l’inconscience. Cette
naïveté, qu’elle nie farouchement, a déjà eu l’occasion de la mener dans toute
sorte d’aventures rocambolesques.


Malgré son apparence lisse de poupée de porcelaine, Morrigan
est aussi dotée d’un caractère en acier trempé. Si elle parvient le plus
souvent à le dompter, il lui arriver de perdre mesure. En particulier quand on
essaie de l’empêcher de faire les choses comme elle l’entend. Morrigan est un
être foncièrement libre qui supporte mal la contrainte. Elle réagira aux ordres
et interdictions avec un sourire à vous faire fondre… avant d’aller n’en faire
qu’à sa tête. Son tempérament passionné la rend encline aux colères. Mais sa
foncière gentillesse l’empêche de blesser les gens sous peine de la torturer
sous des monceaux de culpabilité.


Si elle s’efforce de paraître forte, elle souffre d’une
forte propension à l’incertitude. Peu sûre d’elle en tant que duchesse, elle
s’efforce de faire bonne figure mais craint l’échec autant qu’elle déteste les
ordres.


Du fait de son malencontreux pouvoir, Morrigan a esquivé les
relations sentimentales. Son premier baiser ayant entraîné une bataille rangée
entre ses amis, elle apprit rapidement à décourager tout rapprochement qui
aurait été au-delà de la simple et innocente amitié. Ce qui ne l’empêche pas
d’être d’un naturel sensuel assez prononcé, joueuse et taquine.


Morrigan a quelques notions de combat à la dague et connaît
quelques prises de défenses, mais elle ne sait pas vraiment se battre.
D’ailleurs elle a horreur de ça et trouve cela particulièrement stupide.


Apparence :


Morrigan est née avec les caractéristiques physiques propres
aux peuples de l’Empire du Nord, héritées de sa mère. Sa peau est si pâle
qu’elle paraît presque opalescente, rappelant l’écume qui affleure sur les
vagues. Si la perfection de cette soie blanche est altérée par une ou deux
cicatrices, ils se comptent sur les doigts d’une main ceux qui peuvent se
vanter de l’avoir constaté. Ses yeux sont d’un bleu changeant qui peut être
aussi sombre que les profondeurs marines, insondables et plus ténébreuses que
la nuit polaire, ou d’un bleu pâle et lumineux rappelant le ciel pur qu’on
entrevoit lors des rares éclaircies. Le contraste de couleur que présente
Morrigan se prolonge avec sa chevelure d’un noir d’encre qui tranche sur sa
peau comme les mots sur le papier. Et enfin, sa bouche écarlate, la seule
couleur chaude dans son apparence. Une bouche douce et pulpeuse qui attire tous
les regards que ses yeux n’ont pas hypnotisés.


D’une taille moyenne pour les femmes de son pays, sa grâce serait plutôt petite selon les critères d’autres races ou empires.
Culminant à un mètre cinquante trois (et demi), elle n’hésite pas à avoir
recours au subterfuge des talons, une méthode qui a en outre l’avantage de
mettre en valeur sa silhouette. Car malgré sa relative petitesse, Morrigan est
pourvue de tous les charmes que l’on peut souhaiter trouver chez les
représentantes de son sexe : une taille fine et des hanches rondes, une
poitrine ferme et opulente, des jambes fines et longues, et une musculature
élancée.


De par son statut et sa position privilégiée, Morrigan est
habituée à ne porter que les étoffes les plus précieuses et les plus rares. A
sa ceinture, elle arbore les attributs de sa position, les Clefs de
l’intendance en tant que Demoiselle de la Tour de Curran, sa dague, Amanna, une
bourse de pièces et une bourse d’herbes sèches qui sont les attributs des
demoiselles de la noblesse (même si Morrigan sait à peine quoi faire de ces
herbes), et un pendant en métal ouvragé, hérité de sa mère. Elle porte de
longues robes constituées très souvent de couches superposées. Néanmoins, les
impératifs de la vie à la cour aidant, elle délaisse parfois son confort pour
porter des tenues moins couvrantes, en particulier lors des visites des rares
diplomates autorisés au Château des Engloutis. Elle privilégie, le blanc, le
noir et le bleu, couleurs de sa famille, ainsi que l’or. Elle aime beaucoup les
bijoux et est fascinée par le métal et les pierres précieuses. Sous ses
vêtements elle porte d’ailleurs un anneau orné d’un rubis et de gravures dont
elle ne connaît pas la signification : il a été retrouvé sur le corps de
ses parents et elle pense qu’il peut s’agir d’un indice.


Du fait de son don de Glamour, Morrigan est obligée de
cacher ses mains fines sous des gants montants.


En tant que numéro trois de la famille Gor Deyrn, Morrigan
remplit aussi des obligations diplomatiques qui l’obligent à voyager, laissant
de côté l’or et l’hermine des tenues d’apparat au bénéfice de vêtements plus
pratiques, faits de cuir et de serge brune. Dans ces moments-là, sa fidèle
Amanna ne quitte pas sa ceinture, plus pour la rassurer qu’autre chose.


Sa longue crinière de mèches noires, légèrement bouclés, lui
arrive au bas des fesses. Elle est le plus souvent attachée, une femme n’étant
censée se montrer les cheveux détachés que dans l’intimité. Une femme comme il
faut du moins…

Arme: Amanna, une dague ouvragée, arme de la famille Curran

Inventaire :
– Un pendentif en argent ouvragé, qu’elle porte à une chaîne autour de sa
taille
- Un anneau gravé et orné d’un rubis, qu’elle porte à un cordon autour de son
cou.

Compétences : Glamour (un don qu’elle ne contrôle pas et qui la gêne
plus qu’autre chose) et Aquamancie (elle ne parvient pas à maîtriser de grandes
quantités d’eau, se concentrant sur les gouttelettes. Elle sait simplement
maîtriser de fines aiguilles de glace en combat mais n’utilise pas beaucoup
cette technique)

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