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 Louve, l'ange bannie à la peau de loup

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Louve ex Luminis
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Louve ex Luminis


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MessageSujet: Louve, l'ange bannie à la peau de loup   Louve, l'ange bannie à la peau de loup EmptyLun 20 Fév - 23:18

Nom : Luminis

Prénom : Delilah

Surnom : Louve (et c’est le seul nom qu’on utilise encore, elle a abandonné son nom d’ange depuis sa déchéance, malheur à celui qui l’appellera Delilah...). Surnom donné par Morrigan enfant, et que tout le monde a adopté puisque personne ne connaît son véritable nom.

Âge : Louve semble avoir plus ou moins vingt-trois ans, mais elle infiniment plus vieille, créée par les Dieux environ mille ans plus tôt.

Sexe : Féminin

Race : Ex-céleste, bannie.

Métier :Maître d’armes du continent Ouest. Professeur de tir à l’arc, combat à l’épée à double tranchant et maniement discret du poignard. Enseigne aux soldats et à ceux qui lui demandent, sous réserve d’un paiement intéressant.

Lieu de naissance : Louve a été créée dans le ciel par les Dieux, on ne peut pas parlé de « naissance » propre, mais elle a été déchue sur le Continent Nord.

Histoire :

Au coin d’un feu, assise sur une large roche plate, le regard tourné vers le ciel, Louve se remémorait le passé avec une pointe de nostalgie. Ses longues heures passées à observer ses humains, à insuffler un peu de lumière et d’espoir dans leur vie... Cela lui manquait presque au fond de son cœur meurtri.

Même si elle aimait vivre pour elle, il était encore dans sa nature de s’inquiéter des autres et elle ne pouvait rien faire pour lutter contre ça. Pourtant elle l’aurait voulu... Les oublier... Les autres. Tous ceux qui la faisaient souffrir. Tous ceux qui avaient insufflé ces sentiments douloureux en elle. Tous ces humains, ces êtres qui méprisaient le monde et le modelaient à leur façon sans prendre en compte ceux qui y vivaient.

Avec tristesse, Louve se remémora son premier millénaire d’existence. Aujourd’hui cela faisait mille ans, jour pour jour, que les Dieux l’avaient fait naître. Elle se souvenait comme si c’était la veille l’émerveillement qui avait jailli de nulle part quand son corps et son esprit s’étaient assemblés dans une lueur aveuglante sous la force d’esprit des Dieux. Elle se souvenait de son esprit vif et neuf qui découvrait un monde au fond déjà connu. Elle se souvenait de cette première impression qui l’avait traversé... Comme si elle avait toujours existé sans jamais parvenir à... s’incarner. C’était à la fois merveilleux et infiniment triste, comme si le repos faisait place à une infinité de travail.

Mais Louve avait accepté son rôle avec sérénité, endossé ses ailes célestes, traversé le ciel à tire d’aile pour combattre au sein de batailles sanglantes contre les démons, était descendue sur terre pour sauver des âmes perdues et en protéger d’autres. Ange gardien et générale d’une des troupes célestes, elle avait regardé en silence certains de ses amis mourir et disparaître sans possible retour. La vie au ciel n’était faite que de vide, sans exaltation des sentiments. C’était bien simple, même la mort de ses amis ne parvenait pas à atteindre son cœur de glace. Pour elle, seuls le bien et le mal avaient un sens...

Ce n’est que sur Terre qu’elle comprenait les nuances que pouvaient prendre les sentiments, leurs origines et leur beauté... Pourtant, la jalousie qui commençait à ronger son cœur, en voyant ses humains vivre, s’aimer, se haïr, s’accoupler, fonder une vie de famille, lui restait imperceptible. Louve ne pouvait distinguer le mal qui naissait en elle, dans ce sentiment impur et indigne d’un ange.

À cette époque, elle portait encore son nom d’ange, Delilah Luminis. Ce n’est que bien plus tard, quelques centaines d’années après sa déchéance, qu’elle avait adopté le nom de Louve, lorsqu’une petite fille, portant le doux nom de Morrigan – et surnommée Lutin – l’avait renommée ainsi, en raison de la fourrure de loup qu’elle portait sur le dos, en mémoire de son défunt amant.

Pendant six-cents ans, Louve avait servi le ciel, exécutant ses ordres sans questionner, mettant son existence à leur service. Et puis un jour, tout avait basculé.

Au cours d’une de ces missions sur Terre, elle avait rencontré Côme... Un jeune loup, vaillant, séduisant, avec un sourire qui avait ensorcelé son cœur et qui lui avait fait voir d’autres horizons. Son regard lui avait promis mille choses, et elle avait cédé à cette envie nouvelle, se livrant au cœur de la forêt, connaissant avec délice le désir et la passion au creux des bras d’un homme...

Sa déchéance survint presque aussitôt. Un jour ne passa pas avant qu’on ne la bannisse du ciel, que ses ailes deviennent sombres et inutilisables et que ses pouvoirs s’amoindrissent alors que son esprit périclitait dangereusement. La folie l’avait guettée, près à fondre sur elle à la moindre baisse d’attention. Un ange sans ses ailes. Un ange sans mission. Un ange sans humains... Un ange sans but...

Durant des semaines, elle s’était terrée au fond de la forêt, perdue dans les méandres de son esprit, sa connexion au ciel arrachée avec une violence destructrice. Choyée par son amant, elle avait lutté nuit et jour pour ne pas perdre l’esprit. Elle avait reconstruit avec une lenteur infinie sa mémoire déchirée, sa conscience ravagée d’une douleur presque physique.
Louve n’avait pas de famille. Pas d’attache... Pas d’enfance... Juste des créateurs qui l’avaient rejeté en lui reprenant la moitié de ce qu’ils lui avaient donné. La mémoire des anges lui manquaient, et parfois des bribes de son esprit s’égaraient, elle peinait à retrouver ses mots, se perdait. Elle n’était rien sans le ciel, rien sans les anges.

Même au bout de quatre-cents ans d’existence en tant que bannie, il lui arrivait encore de chercher au fond d’elle-même ce qui lui avait été pris cette nuit-là. Sans résultat. Jamais. Jamais plus elle ne ressentirait ce bien-être dénué de sentiments, cette candeur et cette pureté de l’âme, le sentiment de respirer un air pur, frais et juste... cette essence de la bonté, de la lumière et de la volonté d’aider et d’aimer.

Les larmes de Louve coulèrent lentement sur ses joues alors que, remuant les braises pour raviver le feu, elle
expérimentait de nouveau cette douleur sans nom. Elle ne regrettait rien... Mais ce qui lui avait été pris était pire que la mort...

Se replongeant dans ses souvenirs, Louve se remémora le jour où elle était enfin sortie de son coma, l’esprit fragile mais reconstruit, le ventre arrondi et les seins lourds. Plusieurs mois avaient passé. On l’avait tendrement nourrie, lavée, soignée... Et ses enfants s’étaient développés en son sein avec le naturel de la vie...

Elle l’avait étrangement bien pris, commençant une nouvelle vie aux côtés d’un amant tendre et attentionné, animal et pourtant si humain... Le lycan l’avait accompagné à chaque fois qu’elle voulait se promener, aller voir les humains, rencontrer de nouvelles personnes. Ils les prenaient pour un couple de marchands humains de passages, elle, l’ange déchue, et lui, le lycan rejeté par sa meute... Et puis un soir, ils avaient remarqué la lueur animale dans ses yeux, et l’avaient tué. Simplement. Côme avait disparu ainsi, du jour au lendemain, la laissant seule, abandonnée parmi des humains qui la regardaient d’un autre œil.

La haine. La peur. La douleur... Elle avait testé de nouvelles émotions que la sécurité d’une étreinte, la douceur d’un regard aimant. Elle avait protégé sa dépouille animale, et fait de sa douce fourrure blanche son manteau, sa couverture... Pour leurs enfants, elle avait lutté encore un mois, se protégeant des humains, s’armant et combattant, s’éloignant des contrées habitées pour accoucher de ses enfants sans risque.

Dans les bois, elle mit, seule et dans la douleur, naissance à ses jumeaux, deux louveteaux mâle et femelle sous leur forme humaine. Grâce à sa constitution angélique, elle se remit rapidement, s’occupant de ses enfants comme elle pouvait, cherchant dans ses souvenirs les gestes maternels. Souvent, elle les laissait gambader sous forme lupine, s’amusant à les voir se chamailler dans les bois, retrouvant le goût d’apprendre à vivre une nouvelle vie...

Durant seize ans, Louve avait vu grandir ses enfants. Ils avaient vécu sur tous les continents, ne restant pas suffisamment longtemps pour attirer l’attention, avant de s’arrêter dans l’Ouest quelques temps. Elle avait assumé son rôle de mère avec passion et tendresse, joie et bonne humeur, trouvant dans cette occupation plus de sentiments humains que nulle part ailleurs. Ses louveteaux grandissaient, se transformaient, devenaient adultes et recherchaient leur indépendance, mais elle ne pouvait pas les laisser aller. Ils étaient trop jeunes, et elle était suffisamment consciente du mépris des êtres mortels pour leur race. Avec désespoir, elle se souvint de ses efforts pour retarder le plus longtemps possible le moment de leur départ...

Quand elle avait dû les abandonner, elle avait eu le cœur déchiré. Sa seule famille... Nix et Linus, ses deux magnifiques enfants, la belle louve noire et son frère au pelage blanc, s’étaient enfoncés dans la forêt pour vivre leur propre vie, fonder leur propre meute. Elle se souvenait qu’elle était au fond soulagée de les voir partir ensemble, que séparés, elle n’aurait pu arrêter une seconde de penser à eux.

Les larmes dévalèrent le visage de la belle jeune femme alors que les souvenirs de la période suivant leur séparation affluaient dans son esprit. Il n’avait fallu que trois semaines avant que la mort ne les lui arrache.
Trois-cents soixante-deux ans que ses enfants avaient été déchiquetés vivants par une meute de lycans, et la douleur demeurait en elle, vive comme au premier jour. Comme elle avait pu haïr ceux qui avaient versé le sang de deux adolescents, deux êtres inoffensifs qui ne s’en étaient jamais pris à autre espèce qu’animale... Elle s’était haïe aussi. Elle n’avait pas assuré son rôle de mère, elle les avait laissé faire du mal à ses enfants, la chair de sa chair, les seuls qui comptaient pour elle. Quand elle était partie récupérer leur dépouille, Louve n’avait rien trouvé d’autre que des os brisés, à peine recouverts de chair sanguinolente... Elle avait hurlé sa rage et sa peine, mais les loups étaient déjà loin. Alors elle avait juste récupéré leurs crocs, seul souvenir de ses êtres chers...

Pendant un siècle, Louve avait erré, sans but, se livrant à tous les excès pour oublier son chagrin et l’inutilité de son existence. Elle n’avait plus personne à aimer, plus personne à aider. Elle n’était plus ni un ange, ni une mère, et encore moins une humaine. Personne n’avait pu atteindre son cœur comme Côme l’avait fait, et le plaisir que lui donnaient ses amants et amantes ne suffisaient pas à apaiser son chagrin.

Oh, bien sûr, elle avait vengé la mort de Nix et de Linus. Elle avait sauvé la vie d’un loup, sur le point de se faire abattre par un chasseur humain. Un alpha. Sa meute était bien plus puissante que celle qui avait dépecé sa famille, et elle l’avait purement et simplement anéantie. Pourtant, elle n’en avait retiré aucun plaisir, constatant une fois de plus le néant de son existence.

Louve avait continué sa vie, vagabonde, mystérieuse, silencieuse. On évitait cette femme étrange, dont on ne savait pas grand-chose, si ce n’est la certitude qu’elle n’était pas humaine. Elle se souvenait que les gens esquivaient son regard, qu’ils préféraient l’ignorer plutôt que l’affronter. La crainte. L’angoisse. La curiosité. Elle déclenchait tout ça chez eux... Une sorte de curiosité morbide mêlée de la peur de l’inconnu... Mais aussi le désir et l’envie.

Elle était belle, et elle en était consciente. Ce cadeau des Dieux était presque tout ce qui lui restait, et elle en usait sans parcimonie pour des conquêtes d’une nuit. Toujours, elle disparaissait le matin. L’incertitude régnait. Quelque part, elle espérait tout le temps avoir une deuxième chance, mettre à nouveau au monde un enfant qu’elle chérirait et protégerait mieux que les précédents. Mais jamais cela ne s’était reproduit. Elle était désespérément seule, envahie du chagrin et de la folie qu’elle peinait toujours plus à repousser.

Et puis quelques années plus tôt, elle n’aurait su dire quand, Louve avait rencontré cette petite fille. Elle était seule, dans la nuit, sous la lueur de la lune, au bord d’un ruisseau... Minuscule face à la sombre masse de l’eau mouvante. Elle n’avait pas eu peur quand elle s’était approchée, elle lui avait souri avec tendresse et sa main fraîche avait trouvé de la chaleur au creux de la sienne.

« Louve »

C’est comme ça que le lutin l’avait appelé, là où personne n’avait jamais osé lui donner un nom.
Louve... C’était ainsi qu’elle se prénommait désormais. Rebelle, animale, mais maternelle, c’était bien elle... Une solitaire au cœur triste qui ne rêvait que de trouver sa meute, une place dans le monde...

Cette nuit-là, ensemble, elles avaient regardé la petite Morrigan jouer avec les gouttes d’eau.

Et Louve s’était installée en ville, près d’elle. Elle était restée depuis, engageant ses services martiaux auprès de la garde royale, ses capacités la menant rapidement à une place qui lui convenait. Entraîner, apprendre, transmettre, donner de l’espoir. C’était dans ses cordes...

Parfois, Louve se surprenait à voyager, pendant quelques jours, quelques semaines, quelques mois... Mais toujours, elle revenait au même endroit. Son point d’ancrage... Là où elle savait que quelqu’un l’attendait.

Caractère :

Depuis son bannissement, le caractère naturellement bon de Louve a été altéré. Plus sombre, renfermée et difficilement accessible aux êtres humains, elle lutte constamment contre le chaos qui menace d’envahir son esprit. Parfois, elle sombre dans les cauchemars qui la perdent mais elle finit toujours par retrouver le chemin de la surface...

Sous son apparence légèrement ténébreuse, Louve est un être encore foncièrement bon, atteinte par le mal de sa race déchue, le cœur ravagé par la perte des êtres aimés. À sa façon, elle essaie de continuer à aider le bien, repoussant sans cesse la folie qui veut s’emparer de cet ange abandonné par ses créateurs. Elle vient toujours en aide aux personnes en détresse et offre parfois ses services en tant que garde du corps ou compagne de voyage.

Bien que généralement taciturne, son âge et son histoire font d’elle une très belle conteuse. Elle se confie peu, mais une fois qu’on a acquis sa confiance, gare à celui qui essaiera de s’en prendre à son protégé...

Son comportement peut parfois être très maternel, surtout envers les gens qui comptent pour elle. Elle est terrifiée à l’idée de perdre quelqu’un de la même façon qu’on lui a arraché ses enfants...

Il lui arrive cependant de faire preuve de violence, surtout face à l’injustice et à la méchanceté gratuite. Elle hait la souffrance, mais elle reste une guerrière, et sait pertinemment comment la provoquer...

Malgré cela, Louve reste une séductrice, et puisque telle est la raison de son bannissement, elle ne se prive jamais de plaisir, considérant que son humanité est ce qui lui permet de combattre le mal né de la perte de sa lumière. Ses goûts se tournent indifféremment vers les hommes et les femmes, et sa connaissance et son expérience du sujet font d’elle une amante hors norme...

Apparence :

Louve est grande, fine, élancée, et musclée. Dotée d’une opulente chevelure blonde, elle a conservé une certaine grâce angélique, teintée d’un soupçon de noirceur et de sauvagerie. Ses yeux bleu pâles peuvent paraître froids au premier abord, mais il ne s’agit que d’une illusion, car seuls les bannis peuvent savoir les tourments qui la ravagent de l’intérieur.
Son teint de porcelaine, ses lèvres roses et ses cils de velours lui donnent un air aristocratique et élégant. Mordue durant ses premiers ébats, par simple jeu, mais pourtant incapable de se transformer, Louve a conservé la marque de son premier amant sur la joue. Depuis, la peau s’est reconstituée mais son système lutte continuellement contre le venin, empêchant la reconstitution de ses vaisseaux éclatés et laissant une étrange marque noire...

Elle n’en reste pas moins magnifique, hypnotisante de par sa beauté divine. Son rire, si rare que peu de personnes peuvent se vanter de l’avoir entendu, est clair et donne irrépressiblement envie de rire avec elle. De même, son sourire est lumineux, quand il ne s’agit pas de quelque ironie, et ses ascendances angéliques ne peuvent jamais être remises en doute dans ces moments-là...

Deux longues plumes noires sont tatouées dans son dos, de ses omoplates jusqu’à sa chute de reins, à l’endroit où apparaissent ses ailes quand elle les extirpe de son dos. Depuis sa déchéance, leur habituel blanc immaculé a été remplacé par une teinte d’un noir chatoyant aux reflets bleutés. Celles-ci, immenses, magnifiques, sont composées de milliards de plumes de tailles différentes, qu’elle rendait à l’époque aussi tranchantes que des rasoirs pendant les combats... Aujourd’hui, elles sont d’une douceur infinie pour caresser le corps de ses amants et amantes, mais atrophiées par sa déchéance, elle ne parvient plus à voler avec...

Arme:

Louve maîtrise différentes armes mais ne possède actuellement que ses doubles-sabres qu’elle utilise pour voyager.

Inventaire :

Un manteau en peau de loup blanc, et un pendentif avec les crocs de ses enfants.

Compétences :

Raciale : Bénédiction : La capacité de marquer une cible pour ressentir sa position et ses émotions les plus fortes à tout moment. Louve ne peut marquer qu'une cible à ce niveau-là de sa puissance. Les plus impressionnantes manifestations des son pouvoir sont la possibilité de se téléporter auprès de sa cible, de convoquer la cible auprès d'elle, et de la soigner à distance. Sa bénédiction prend la forme d'une plume tatouée d'un bleu opalescent sur la peau de sa cible, et si elle retire cette bénédiction, c'est définitif, elle ne pourra plus faire marche arrière.

Générale : Empathie : Louve ressent les émotions des personnes autour d’elle avec plus ou moins d’intensité selon qu’elle les touche ou qu’elles soient éloignées à plusieurs mètres d’elle. Cette capacité l’aide souvent à déterminer si les gens disent ou non la vérité, mais elle est aussi contraignante, car elle ne peut s’empêcher de les ressentir...

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MessageSujet: Re: Louve, l'ange bannie à la peau de loup   Louve, l'ange bannie à la peau de loup EmptyMar 21 Fév - 0:02

Quelle histoire j'aime j'aime bref
Validé bon jeux parmi nous!
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Amuse toi bien
=3 miaw!
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